L’or dans tous ses états
Avant-gardiste quant au sourcing high-tech et responsable de ses créations, c’est naturellement que COURBET s’est tourné vers l’or recyclé pour accompagner les diamants de synthèse L’appellation “diamant de synthèse” peut induire en erreur car, dans notre imaginaire, le synthétique est facilement associé à l’artificiel. Pourtant, dans le cas du diamant de laboratoire, des conditions de formation différentes permettent un résultat égal, tant par ses propriétés optiques que physiques; l’impact écologique en moins. La terminologie imposée ne reflète pas la juste valeur des diamants cultivés grâce au génie humain: cet astérisque vert symbolise le combat pour l’acceptation d’un nom plus juste. créés en laboratoire dans ses collections. Une alternative en ligne avec sa vision écologique, qui permet d’éviter l’extraction, très lourde en conséquences environnementales, au profit des mines urbaines.
Si l’or est une matière noble, son origine l’est bien moins ; l’extraction aurifère est un processus polluant, qui nécessite de grandes quantités d’eau. Les sites miniers sont dégradés, déforestés et pollués par les produits chimiques nécessaires pour dissocier l’or de la roche, véritables poisons. La création de labels comme Fairtrade et Fairmined a permis d’adresser l’aspect humain et éthique de cette extraction. Mais ces labels ont une portée encore limitée et surtout, ils ne préviennent pas la destruction des écosystèmes ; un impératif pour COURBET.
Pourtant, l’or possède un atout merveilleux : fondu, il conserve toutes ses propriétés. Il est donc recyclable à l’infini ! D’autant qu’aujourd’hui, il y a plus d’or déjà extrait des mines qu’il n’en reste sous terre. Le recyclage de l'or, encore et encore, était donc la solution évidente pour COURBET, car elle permet de concilier la qualité de la matière avec le respect de la planète. D’éviter plus d’extraction, tout en optimisant les ressources déjà disponibles.
Mais COURBET ne fait pas dans les conventions. Si une partie de l’or qu’il utilise est recyclé “traditionnellement” à partir de bijoux, le joaillier écologique se tourne aussi vers une autre source, souvent négligée : l’or présent dans le matériel informatique et industriel obsolète. Alors qu’une très bonne mine ne concentre qu’environ 5 g d'or par tonne de minerai, une tonne de ces déchets électroniques peut contenir jusqu’à 1 kg du précieux métal.
De véritables mines d’or - mais urbaines cette fois - qui font d’ailleurs écho au lien très fort de la marque avec la technologie depuis ses débuts. Le joaillier écologique a choisi des partenaires spécialisés dans le recyclage de cet or utilisé à des fins industrielles et donc facilement traçable, avec pour objectif de sourcer auprès d’eux 100% de son or à l’horizon 2025.
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