La Place Vendôme rêvée par un esprit révolutionnaire
Provocateur dans l’âme et visionnaire, le peintre Gustave Courbet allait à l’encontre des conventions et des canons de son temps. Un penchant pour la disruption qui lie son destin à celui de la Place Vendôme, et donne son origine au nom audacieux du premier joaillier écologique de la place octogonale : COURBET.
Le 16 mai 1871, la colonne Vendôme tombe, déboulonnée par les révolutionnaires de la Commune de Paris. Ces derniers voient en elle un symbole à la gloire de l’Empereur.
Gustave Courbet, peintre et défenseur d’idéaux pacifistes, est l’instigateur de ce geste hautement symbolique.
Le joaillier COURBET marque d’une pierre blanche - cultivée en laboratoire - la date du 16 mai. C’est en ce même jour, en 2018, qu’ouvrent les portes de sa première adresse parisienne située dans les hauteurs de la Place Vendôme. Un choix imagé qui exalte l’esprit du peintre disrupteur et amoureux de la Nature à qui elle emprunte son nom.
Cet héritage, fièrement revendiqué, donne le ton : grâce à un sourcing disruptif et une vision artistique engagée, COURBET entend bousculer les codes de la Place Vendôme pour proposer une joaillerie plus responsable et résolument tournée vers l’avenir.
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COMMENTAIRES
Bon Anniversaire !
Alix • 16 MAI 2021