Le pouvoir d'aimer, l'art de transmettre
On parle souvent d’une pièce de joaillerie avec beaucoup de chiffres et de lettres : diamant D, E ou F, 2,5 carats, VVS1, or 18 carats… Pourtant, ce sont rarement ces informations qui traversent le temps, mais bien l’histoire cachée au centre d’une pierre, aux confins des maillons d’une chaîne…
Quiconque a en mémoire la bague de fiançailles de Lady Diana, sublime halo en saphir et diamants offert trois décennies plus tard à Kate Middleton par le prince William, réalise la force du lien qui réunit deux êtres autour d’un seul et même bijou.
Un amour, une naissance, ou simplement une année de plus, peu importe les raisons pour lesquelles on transmet : l’essentiel est la confiance et l’affection accordées à l’autre en lui offrant ce que l’on a de plus cher pour le cœur.
L’héritage se construit avant tout sur des souvenirs, des sensations, des symboles. Il s’agit moins de faire perdurer la beauté esthétique d’un objet, que de rendre éternels ceux que l’on aimerait immortels.
Les bijoux ont cela de particulier qu’ils prennent place durablement sur les corps, ont été et seront encore les témoins de chaque fragment de vie. À chacun appartient le pouvoir de les réinventer.
Ainsi, une bague C de COURBET Halo en or jaune fait il y a quelques années de cela le bonheur de son acquéreuse. Aujourd'hui le bijou rejoint la main de sa fille nouvellement mère : la voie de la transmission est désormais ouverte.
Chez COURBET, la joaillerie a été pensée comme une œuvre individuelle et collective à la fois. Individuelle en ce qu’elle marque de son éclat l’histoire intime de chacun. Collective puisque l’engagement écologique qu’elle transmet célèbre les valeurs universelles du beau et du bien.
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